Domaine du Colombier
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Domaine du Colombier

Forum ludique
 
AccueilS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

 

 Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Brise
Maitresse des lieux
Maitresse des lieux
Brise


Messages : 2035
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : La Provence

Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis Empty
MessageSujet: Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis   Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis I_icon_minitimeDim 26 Avr - 9:18

- La Pairie
- Des statuts régissant la Commission d’accession à la Très Noble Assemblée des Pairs de France
- Secrétariat d'Etat
- Les Compagnons d’Eleusis

La Pairie

Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis PairieSource : Palais des Académies - La Pairie
Voir aussi : Les Bureaux des Offices et de la Pairie
I - Généralités
La Pairie est constitué du Roy, de la Reyne ainsi que de tout les pairs.
Les Pairs sont des nobles ayant exceptionnellement contribué, par leurs efforts et leurs talent, à assurer la puissance de la Couronne et du royaume de France, la prospérité des Français et l'intérêt supérieur de la Religion Universelle, Aristotélicienne et Romaine.
Les Pairs sont nommés à vie. La qualité de Pair ne se perd que par la haute trahison, lors d'un jugement motivé rendu par les pairs, réunie en cour, et à la majorité des deux tiers, ou par décision Royale discrétionnaire.

II - Fonction
Les Pairs propose des lois au Roy, ils font office de Juges et Procureurs à la Haute Cours de Justice, ils peuvent saisir les membres de la Curia Regis pour des questions gouvernementales (la manière dont un dossier a été géré), sur un problème donné de l’actualité, demander des explications, ils ont aussi le droit de faire un vote de défiance qui sera remis au Roy (au Grand Maître de France en son absence). A charge de celui-ci de trancher ou non sur la révocation du Grand Officier de la Couronne.
Ils surveillent la gouvernance de la Curia Regis mensuellement, ils s'occupent aussi de la gestions des relations avec les provinces du Royaume de France.

III - Nominations
Le Roi nomme autant de Pairs qu'il le désire dans la limite d'un pair pour 725 sujets de Sa Majesté.
Tout prétendant à la pairie doit être parrainé par au moins un Duc élu ou un Comte élu et en exercice, gouvernant une province du royaume de France. Les Ducs et comtes en fonction ne peuvent se parrainer eux même.
Le ou les parrains doivent établir un rapport motivé, honnête et impartial, établissant les mérites du prétendant, et relatant ses hauts faits.
Une fois par mois, l'assemblée des pairs du Royaume se saisit de toute demande relative à la nomination d'un pair et rend un avis motivé sur le dossier de candidature. Les pairs de France étudient ce rapport sur le postulant, et transmettent leur avis au Roi. Le roi statue discrétionnairement.
Par exception, les pairs de France n'étudient pas les rapports transmis, et ne donnent pas leur avis, si leur nombre est inférieur à cinq.
Il doit être prêté grande attention à ce que les territoires du royaume soient convenablement représentés à la cour, à mesure de leur valeur et de leur contribution à la grandeur du royaume.

IV - La Cour des Pairs
La Cour des pairs du royaume est habilité à vérifer la validité de toute élection s'étant déroulée en France. Elle rend un avis motivé au Roi en cas d'irrégularités. Le Roi statue discrétionnairement.
La Cour des pairs s'efforce de maintenir l'unité du royaume de France, en intelligence avec le roi, ils peuvent à ce titre être envoyés pour diriger temporairement les nouveaux duchés jusqu'aux élections régulièrement tenues.
La Cour des pairs se dote d'un règlement intérieur, qu'elle vote à la majorité des deux tiers.
Seule la cour des Pairs est autorisée à juger un Duc ou Comte en exercice.
Le Roi décide seul d'attribuer ou de retirer des pouvoirs aux pairs de France. Ces pouvoirs ne peuvent s'exercer qu'à l'intérieur du domaine royal, sauf autorisation des autorités locales concernées ou de l'assemblée des Etats généraux, convoqués régulièrement, ou en terres étrangères en cas de guerre.

Fait par Altania, Académicienne en Chaire de l'Institut de Lexicopgraphie
Le 4 Mai 1456.


Dernière édition par Brise le Dim 5 Juil - 12:50, édité 3 fois (Raison : Ajout au sommaire de l'aide de Clémence de Chéroy)
Revenir en haut Aller en bas
https://defenseurs.forumactif.org
Brise
Maitresse des lieux
Maitresse des lieux
Brise


Messages : 2035
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : La Provence

Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis Empty
MessageSujet: Guide : Secrétariat d'Etat   Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis I_icon_minitimeDim 26 Avr - 12:46

Source : Palais des Académies - Le Secrétariat d'Etat

Le Secrétariat d'Etat

I - Généralités

Le Secrétariat d'Etat est une institution, créée officiellement en avril 1455. Le Secrétariat d’Etat est placé sous le commandement du Premier Secrétaire d'Etat, l'un des dix Grands Officiers de la curia regis; elle-même soumise directement à la volonté de Sa Majesté, le Roy de France. Le Secrétariat d’Etat siège à Paris, dans les locaux des bureaux de la Pairie française et il comporte un Secrétaire d'Etat par province.

II - Historique
Le Premier Grand officier ayant occupé cette charge était alors appelé "Le Secrétaire d'Etat".
Messire Alistiel de Lanleff, Comte de Chabanais et Pair de France, a occupé cette charge du 15 décembre 1454 au 14 Janvier 1455. Le Secrétariat d'Etat ne comportait que des représentants dans les provinces du Domaine royal.
Le premier "Premier Secrétaire d’Etat" appelé ainsi, a été dame Kirah du Breuil, Duchesse d'Estouteville et Pair de France, qui a occupé la charge du 6 Juin 1455 au 15 octobre 1455.
Sous son égide, le Secrétariat d'Etat s'est doté de secrétaires d'Etat dans les provinces hors du Domaine royal, d'une charte pour le domaine royal ainsi que la création du Salon des Diplomates. Elle a posé les fondations du Secrétariat d'Etat.
Le deuxième "Premier Secrétaire d’Etat" fût Dame Pisan d'Harcourt, Vicomtesse de Chelles occupe cette charge du 15 Octobre 1455 au 29 Juin 1456.
Le troisiéme "Premier Secrétaire d'Etat" fût Dame Marie-Alice Alterac, Vicomtesse de Pompadour et d'Arnac depuis le 29 Juin 1456.

III - Fonctions
A) Du Premier Secrétaire d'Etat
Le Premier Secrétaire d’Etat a en charge la communication avec les provinces de France.
Il s’est doté de secrétaires d’Etat, officier royal dont les charges et devoirs sont définis dans une charte depuis le 15 janvier 1456.
1. Accueillir et guider tous les feudataires du Royaume
Bailler les clefs de la cour de France et guider les feudataires dans les démarches administratives, informer Leurs Majestés et/ou Son Altesse le Prince Morgennes des changements de feudataires et des allégeances.
2. Recueillir les doléances
Le Premier Secrétaire d'Etat, par le biais du Secrétaire d'Etat en charge de la province, recueille les doléances des provinces (des gouvernants et des gouvernés) afin de transmettre à Sa Majesté ou à ses conseils pour avis ou décision.
3. Participer aux débats sur le gouvernement du royaume
Il participe aux débats de la curia regis (le conseil privé du Roy) dont il est l’un des dix Grands officiers (ministres)
Il est aussi au Conseil des Grands Feudataires du royaume de France.
4. Animer le salon des diplomates du Domaine royal.
Il a été ouvert fin septembre 1455 par dame Kirah Du Breuil alors Premier Secrétaire d’Etat. Les débats sont dirigés par le Premier Secrétaire d’Etat ou le Chef de cabinet des Secrétaires d’Etat en charge du domaine royal.

B) Du Secrétaire d'Etat

1. Observateur des institutions
Le Secrétaire d'Etat collecte des informations sur sa province (politiques, économiques, sociales, religieuses, festives etc.).
Ces informations sont exploitées par la Curia Regis afin de mieux gouverner le royaume de Sa Majesté et de veiller à ses intérêts.
2. Porte-parole royal
Il informe également son duché/comté des décisions prises par la Curia Regis et la Pairie et des évènements du royaume, en collaboration avec le Hérault de la province.
Son rôle est d'améliorer la communication entre les organes à Paris et les provinces du royaume.
3. Aide technique (neutre: non politique)
Il est le conseiller royal de son duché : Le SE est le lien entre les conseillers ducaux et les institutions royales: un lien juridique, un lien organique.
* juridique car il est vigilant sur la conformité des lois ducales/comtales à la charte du royaume et aux lois royales.
* organique: car il remonte les problèmes que peuvent rencontrer les conseillers sur un point particulier directement aux Grands officiers, ou à leurs homologues dans les autres duchés par la collaboration des Secrétaires d'Etat entre eux.
4. Compétences spécifiques
Le droit royal, la diplomatie, le fonctionnement des institutions.
5. Informer les provinces du royaume de France des décisions de la curia regis et des annonces des administrations
Les traités, accords de la couronne de France, nominations aux offices royaux, recrutements et annonces de la curia regis sur divers sujets, sont publiés en gargote et au conseil de chaque province après leur publication au Louvre.

IV - Nominations
Le Premier Secrétaire d'Etat est reconnu par le Grand Maistre de France. Les Chefs de cabinets et les Secrétaires d'Etat sont reconnus par le Premier Secrétaire d'Etat.

Fait par Altania, Académicienne en Chaire de l'Institut de Lexicographie.
Le 19 Juillet 1456, complet le 11 Août 1456.
Revenir en haut Aller en bas
https://defenseurs.forumactif.org
Brise
Maitresse des lieux
Maitresse des lieux
Brise


Messages : 2035
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : La Provence

Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis Empty
MessageSujet: Guide : Compagnons d’Eleusis   Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis I_icon_minitimeDim 26 Avr - 12:47

Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis CompagnonsEleusisSource : Palais des Académies - Les Compagnons d’Eleusis
Les Compagnons d’Eleusis

1) Qu’est-ce que la Communauté des Compagnons d’Eleusis ?
La Communauté des Compagnons d’Eleusis forme l’une des chambres secrètes du Royaume de France. Cette organisation a vu le jour au mois d’août 1454, suite à la destruction de leur Temple au Moyen-Orient. La fondatrice de la chambre française de cette Communauté, dame Silence, aurait été la seule survivante de ce massacre, et aurait été envoyée fonder un nouveau Temple sur la terre du Royaume de France.
La Communauté d’Eleusis trouve son fondement dans la culture grecque antique et se réfère constamment à elle, notamment en matière de pensée, de philosophie, d’art, d’esthétique et de religion. Ce dernier aspect est actuellement celui qui semble le plus développé, et se démarque par une remarquable singularité : les Compagnons d’Eleusis semblent avoir adopté et fait renaître le culte des déesses grecques, notamment de Déméter, déesse prépondérante des Mystères d’Eleusis, mais aussi de Perséphone et Korê, déesses de la Terre, et d’Artémis, Séléné et Hécate, déesses de la Lune.
Par ailleurs, aux dires mêmes de Dame Silence, la Communauté entretient des relations avec d’autres obédiences hérétiques, notamment telles que les Repentis Hérétiques, les Francs Mestiers, les Cathares, les Libres Penseurs, et s’enrichit à leur contact, probablement au niveau philosophique et éthique.

2) Qui sont les Compagnons d’Eleusis ?
Aux dires mêmes de la Grande Prêtresse d’Eleusis, les Compagnons viennent d’horizons très variés. Néanmoins, ces horizons excluent, comme nous le verrons par la suite, le clergé aristotélicien et la noblesse française, ainsi que toute personne ayant reçu un sacrement aristotélicien qui refuserait d’y renoncer par écrit. Ainsi, que l’on soit serf, paysan, artisan ou même lettré, chacun a accès à cette Communauté, aux conditions près que nous avons mentionnées ci-dessus.
Les Compagnons d’Eleusis, d’après notamment un poème qui définit la manière dont ils doivent se comporter au sein de leur Communauté, forment une sorte de fraternité. Les liens entre eux se veulent forts, mais sont avant tout d’ordre intellectuel : la Communauté d’Eleusis n’affiche aucune organisation militaire ou assimilée, aucune opinion politique précise… Ainsi, des Frères de tous bords se côtoient dans une union qui se veut parfaite, dans le cadre d’un culte pratiquement personnel voué aux Déesses que j’ai nommées plus haut, personnel dans la mesure où il revient à chacun de trouver sa voie pour accéder à ces divinités.
Aux dires de leur Grande Prêtresse, les Compagnons d’Eleusis forment les branches du petit arbre, issu de la graine de la ferveur de l’Envoyée, qui ne cesse de croître dans le Royaume de France.

3) Comment s’organisent les Compagnons d’Eleusis ?
Il est difficile de définir exactement la nébuleuse que forme la Communauté des Compagnons d’Eleusis.
Aucune règle prédéfinie ne module leur vie en communauté. Au contraire, chacun des Compagnons d’Eleusis doit trouver en lui-même le chemin qui le mènera à celui qu’il est véritablement, et ainsi qui le conduira à la Déesse. Il est cependant notable que la Communauté gravite manifestement autour de celle qui se donne pour titre « Grande Prêtresse d’Eleusis », et qui est aussi appelée, dans les premiers temps de la Communauté tout du moins, « l’Envoyée ».
Cependant, les liens qui existent entre la Communauté et d’autres mouvements hérétiques laissent à penser qu’il existe une sorte de noyau de commandement, probablement dirigé par la Grande Prêtresse, de par sa place prépondérante d’envoyée et d’intermédiaire entre l’ancienne et la nouvelle Communauté.
Un autre élément structurant les Compagnons est la publication d’un journal, intitulé La Voix d’Eleusis, ainsi que leurs activités littéraires, comme l’écriture de poèmes et de récits. Cela montre combien le mouvement se veut global, dans la mesure où il ne concerne pas seulement la religion, héritée des cultes païens antiques, des Compagnons, mais aussi leur santé (par le biais de jeux sportifs, par exemple) et leur intelligence, comme le montrent leurs activités intellectuelles, philosophiques, littéraires, et leurs opinions politiques, marquées notamment par un engagement pour les valeurs démocratiques et le respect des citoyens, et par ce qu’ils appellent leur refus du « dogme de la religion et de la pensée unique ». Leur engagement pour la vie de leurs concitoyens les mène aussi à réaliser des chantiers assez gigantesques, comme la construction d’aqueducs, de thermes, d’agoras, de villas, d’égouts et de latrines notamment.

4) Quelle place pour les Compagnons d’Eleusis en terre aristotélicienne ?
Les Compagnons d’Eleusis, dans la mesure où leur Temple aurait été détruit et leur première Communauté décimée par des soldats portant la croix, considèrent que nulle âme de religion aristotélicienne ne peut avoir sa place parmi eux. Ils demandent donc à toute personne ayant reçu un sacrement aristotélicien d’y renoncer par écrit. Leur rejet de la religion aristotélicienne est par ailleurs tel que seul le mariage célébré selon le rite d’Eleusis est considéré comme valide au sein de leur Communauté, et qu’ils n’acceptent parmi eux ni membres du clergé, ni noblesse française.
Ainsi donc, les Compagnons d’Eleusis semblent s’inscrire en complet décalage avec la terre d’accueil qu’ils ont choisi, ce qui peut expliquer le fait que leur Communauté demeure une chambre secrète, et que leur foi en des dieux et déesses antique ne devienne pas une religion officielle, non plus que leur amour pour les mythes païens anciens ne se répande.
Cependant, il est remarquable que bon nombre des valeurs reconnues comme primordiales pour un Compagnon d’Eleusis sont le respect, la tolérance, l’entraide et la protection ; leur Communauté se donne aussi pour vocation de défendre la liberté et de combattre les inégalités, ce qui rapproche au contraire les Compagnons d’Eleusis des tenants de la foi aristotélicienne.
La Communauté des Compagnons d’Eleusis est cependant condamnée par l’Eglise Aristotélicienne, et, à ce titre, est hérétique, ce qui explique sa discrétion en tant que religion.

Fait par le Copiste Sindanarie le 6 Août et complet le 24 Août 1456.
Revenir en haut Aller en bas
https://defenseurs.forumactif.org
Clémence de Chéroy
Discret
Discret
Clémence de Chéroy


Messages : 2
Date d'inscription : 05/07/2009

Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis Empty
MessageSujet: Re: Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis   Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis I_icon_minitimeDim 5 Juil - 11:57

Citation :
Des statuts régissant la Commission d’accession à la Très Noble Assemblée des Pairs de France.


Des dossiers d’accession.

Tout dossier présenté par un prétendant au statut de Pair de France devra être déposé par un Feudataire du Royaume de France en cour de mandat en la salle prévue à cet effet au sein du Palais Royal, à savoir la Salle des Admissions à la Pairie.

Le dossier se devra de présenter le parcours politique et public du candidat, s’efforçant de mettre à jour ses mérites, ses qualités et ses actions conduisant à mériter l’élévation au rang de Pair de France.

Le dossier pourra se voir adjoindre le soutien de grands nobles du Royaume de France.


De la Chambre d’accession.

Une fois le dossier déposé, le Grand Prévost de France devra vérifier la respectabilité du candidat au rang de Pair de France afin de s’assurer que ce dernier remplit les conditions nécessaires à sa présentation au vote de la Très Nobles Assemblée des Pairs de France.

Les conditions obligatoires que doit remplir un dossier pour être déclaré recevable sont :

Le candidat doit être noble de mérites au rang minimum de Baron et tenir fief au sein du Royaume de France.
Le candidat doit résider sur le sol du Royaume de France, non nécessairement au sein de la Province dont il tient ses titres.
Le candidat ne doit pas avoir été reconnu coupable de Haute Trahison ou de Trahison par la justice du Royaume de France.
Le candidat doit être baptisé selon les rites de la religion aristotélicienne.


De la représentabilité.

Par tradition, le ratio Pair/sujet est de 1/725 et définit le nombre de Pairs au sein d’une province. La province prise en compte pour le calcul de ce ratio est celle de résidence de l'impétrant.


Du vote de la Très Noble Assemblée des Pairs de France
.

A la conclusion de l’enquête de la Prévosté royale, diligentée par le Grand Prévost de France, et si cette dernière établit la conformité des préceptes énoncés çi-avant, un délai de 7 jours est laissé à la Pairie afin de débattre à propos du candidat.

Ce délai peut être prorogé d'une durée déterminée par les Pairs pour complément. Cette prorogation sera transmise par le Primus Inter Pares, ou en cas d'absence un Pair exerçant une fonction de Grand Officier de France, au Grand Chambellan de France avant le terme du délai initial de 7 jours.

Le Grand Chambellan procède, au terme du délai, éventuellement prorogé, suivant la conclusion de l'enquête et suite à une notification du Primus inter Pares, à l’ouverture des votes et invite les Très Nobles Pairs de France à se prononcer sur la candidature qui leur est soumise.

Le temps de vote est d’une semaine.

Chaque Pair de France dispose d’une voix unique.

Sont invités à s’exprimer l’ensemble des Pairs de France, non déchus par Sa Majesté, non en cours de règne au sein d’une province du Royaume, non régents d’une province du Royaume de France.

Le vote se fera comme par le passé dans une salle réservée aux seuls Pairs, en huis clos. Si le Grand Chambellan de France n'est pas membre de la Très Noble Assemblée des Pairs de France, le Primus inter Pares lui transmet le résultat du scrutin.


De l’issue du vote de la Très Noble Assemblée des Pairs de France.

Au terme des sept jours de vote, le Primus inter Pares clôt la procédure.

Si le candidat a reçu une majorité de votes positifs, le Grand Chambellan de France informe Sa Majesté le Roy, lequel prend la décision finale d’intégrer le candidat au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France par le biais d’un édit officiel affiché au Palais Royal.

Si le candidat a reçu une majorité d’avis négatifs, la Pairie, via le Primus inter Pares, dans les trois jours suivant l’issue du vote, présente un bref compte-rendu faisant suite au dossier afin que le Grand Chambellan de France informe le candidat de l’issue de sa requête.
Un candidat ayant reçu un avis défavorable de la Très Noble Assemblée des Pairs de France est autorisé à représenter un dossier de candidature. Cependant, pas plus de cinq tentatives ne seront autorisées.

Fait au Louvre, ce 28 juin de l'an de Grâce 1457.

Pour la Pairie,
Nico de Brassac, Comte de Turenne, Baron de Neuvic, Seigneur de Fontenay, Chevalier de France.
Primus inter Pares par interim.

Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis Nico210
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis Empty
MessageSujet: Re: Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis   Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Guide : Pairie, Secrétariat d'Etat et Compagnons d’Eleusis
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Guide : Niveau VI
» Guide : Le voyageur
» Guide : Niveau I
» Guide : Niveau III
» Guide : Niveau V

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Domaine du Colombier :: Renaissance Kingdoms (P2W) :: Bibliothèque RR :: Guides-
Sauter vers: